Madame, Monsieur, Chers Amis,
Souvenez-vous, en 2019, la veille des dernières élections, nous ne connaissions alors ni le nom ni l’existence même du Covid. Les inondations, sécheresses et incendies - conséquences directes du réchauffement climatique – n’étaient pas encore à l’ordre du jour. Les tensions internationales se réglaient encore sous la férule du droit international. La Russie ne représentait alors aucune menace sérieuse. Et c’était il y a moins de cinq ans…
Depuis lors le monde a pris une autre tournure :
-
Les replis identitaires tout comme les ambitions nationalistes et impérialistes se répandent.
-
La force du droit se voit supplantée par le droit de la force.
-
La violence se banalise.
-
Ces nombreux basculements s’accompagnent de fractures économiques et sociales qui affaiblissent le pouvoir d'achat de la plupart des familles.
-
Sans compter la mise à mal des mécanismes de solidarité et la défiance rampante des citoyens à l'égard du politique.
Ce tableau n'est pas exhaustif. Chacun peut observer autour de lui les difficultés et les incertitudes partagées. Avec l’émergence d’une double question inédite: comment se projeter dans l'avenir? Et pour quel avenir?
C'est dans ce contexte que notre mouvement "Les Engagés" offre depuis deux ans une nouvelle dynamique et accueille de nouveaux visages sur la scène politique belge. Un pari audacieux mais cohérent avec son nouveau slogan "Le courage de changer".
-
Parce qu’il est nécessaire de changer pour offrir de nouvelles perspectives face aux défis actuels.
-
Parce que les solutions imposées par la force n’en sont pas, c’est en faisant consensus que nous relèverons ces multiples enjeux de société.
-
Ce qui n’exclut pas de faire autorité.
-
Et notre mouvement est le mieux placé pour allier consensus et capacité de décision.
Face à l’actuel défi électoral, Maxime Prévot - que j'apprécie beaucoup – a appelé une mobilisation maximale. Et il m'a été proposé de m'engager sur la liste régionale en me proposant la 69ème place. Une place de combat.
Que j’ai acceptée.
Pour deux raisons.
-
La première parce que la situation actuelle impose un engagement et que le faire au sein de notre nouveau mouvement est utile. Un vent de fraîcheur y souffle. Les débats internes sont ouverts. La diversité est au rendez-vous, avec une écoute réelle de chacun. J’ai eu l’occasion de participer activement à la rédaction du programme santé au sein duquel les concepts de promotion de la santé sont enfin mis en avant. Cela a beaucoup de sens parce que cela permet de décloisonner les politiques et de gagner en efficacité. Découvrez le chapitre santé, le premier au sein de l’ensemble de notre programme et vous comprendrez ma motivation.
-
La seconde raison tient aux profils des nouvelles têtes de liste. Que ce soient Yvan Verougstraete à l'Europe, Élisabeth Degryse et Yves Coppieters à la Chambre, Christophe De Beukelaer à la Région bruxelloise ou Vincent Blondel et Olivier de Wasseige à la Région wallonne, pour ne citer qu’eux, ils représentent un rassemblement de compétences majeures.
Voilà les raisons pour lesquelles, faire campagne aujourd’hui est, à mes yeux, réellement porteur de sens. Cela me permet aussi de poursuivre activement mon engagement. Que ce soit dans le champs de la promotion de la santé, du handicap, du dialogue avec les citoyens, ou encore en faveur de la cause arménienne comme l’illustre la photo plus haut.
Si vous souhaitez me soutenir, vous trouverez via ce lien différentes options d’aide.
Merci pour votre attention et votre soutien !
Le 19 mars 2024,
André du Bus
Conseiller communal à Etterbeek
69ème candidat à la Région bruxelloise